Correction de l’examen régional de la région de la région de Rabat-Salé-Kénitra 2025
L'examen en PDF
Etude de texte
1- Le tableau
Auteur : Le Dernier jour d’un condamné
Titre : Victor Hugo
Genre : roman à thèse
Date de parution : 1829
2- Vrai ou faux ?
· Le condamné est dans l’infirmerie. Faux
· Il vient d’être transféré à la
Conciergerie. Faux
· Il va réussir à s’évader. Faux
· Il vient d’assister au ferrage des
forçats. Vrai
3- Le condamné doit sortir de l'infirmerie parce
qu'il n'est pas malade.
Justification : « malheureusement je n’étais pas malade. Le lendemain il fallut
sortir de l’infirmerie. »
4- « Je suis jeune, sain et fort. Le sang
coule librement dans mes veines ; tous mes membres obéissent à tous mes
caprices ; je suis robuste de corps et d’esprit, constitué pour une longue
vie ».
Le champ lexical dominant est celui de la
santé/ la force.
5- Selon le condamné, ce sont les médecins
et les sœurs de charité qui pourraient l'aider à s'évader. Il dit :
« Une porte ouverte, qu’est-ce que cela leur ferait ? »
6- Non, son idée de s'évader ne pourrait pas se
réaliser.
Justification: « j’aurais peut-être pu m’évader si l’on m’y avait laissé. »
Mais il pense ensuite que les médecins « guérissent bien d’une
fièvre », mais « non d’une sentence de mort ». « Plus de
chance maintenant ! ».
7- Figures de style
« le cachot me reprit » : Personnification
« le pourvoi, c'est une corde qui vous
tient suspendu au-dessus de l'abîme »: Métaphore
8- Registre littéraire
Le registre littéraire est pathétique.
Le passage exprime le désespoir et l'impuissance du condamné face à son destin,
suscitant la pitié du lecteur.
9- A mon avis le comportement des médecins envers
le condamné est louable. Cela montre une dimension humanitaire et compatissante
même envers ceux qui sont destinés à être exécutés.
10- Dans le roman, lors du ferrage des forçats, les
prisonniers ont été traités comme des bêtes. Je suis contre ce traitement et je
vois que la dignité de tout être humain doit être au-dessus de tout. Un
condamné est déjà privé de sa liberté, le droit le plus cher de tous, donc il
ne sert à rien de le maltraiter davantage.
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